Sep 142009
 


Titre: マリと子犬の物語 – Mari to Koinu no Monogatari

Autres titres:
* A Tale of Mari and the three puppies
* 柴犬奇蹟物語 – Shiba-ken Kiseki Monogatari

Année: 2007
Metteur en Scène: Ryuichi Inomata
Producteurs: Hitoshi Endo, Shin Horiguchi, Hisashi Usui
Scénario: Koudai Yamada, Yuki Kiyomoto, Ako Takahashi, Shinji Kuwabara (nouvelle graphique), Kazuoki Ono (nouvelle graphique)
Date de sortie: 8 décembre 2007 (Japon)
Studio: NTV
Distributeur: Toho

Genre.: Drama
Durée:  124 minutes
Pays: Japan
Langue: Japonaise
Sous-titres: anglais/chinois

Acteurs:
– Eiichiro Funakoshi : Yuichi Ishikawa
– Akiko Matsumoto : Saeko Hasegawa
– Ryohei Hirota : Ryota Ishikawa
– Mao Sasaki : Aya Ishikawa
– Yu Tokui
– Kenjiro Nashimoto
– Chihoko shigeta
– Yukijiro Hotaru
– Kazue Tsunogae
– Yoshikazu Ebisu
– Hiroki Miyake
– Masanobu Takashima
– Mao Kobayashi
– Takehiko Ono
– Ken Utsui
– Akiko Matsumoto

Le conte de Mari et des trois chiots (en japonais: マリと子犬の物語, mari to koinu monogatari, littéralement « le conte de Mari et des chiots ») est un film japonais de 2007 basé sur une histoire vraie qui s’est déroulée durant le tremblement de terre de 2004 dans la préfecture de Niigata au Japon.


Mari bébé

1. Sujet

Bébé chiot abandonné sur le bord d’une route, Mari est décrite dans le film comme un Shiba-Inu. Elle est recueilli par une famille qui a récemment fait le deuil d’un de leur membre, la mère, décédée suite à une maladie. Un an après, Mari donne naissance à une portée de trois chiots, juste avant un tremblement de terre important qui frappe le village de montagne où elle vit avec la famille. Bien qu’elle ait essayé, elle-même, de sauver des membres de la famille, Les secours qui arrivent à les sortir des décombre n’ont pas d’autres choix que de la laisser lors de l’évacuation du village.


mari

Le film raconte ses aventures ainsi que celles des deux enfants à qui elle appartient durant ces deux longues et douloureuses semaines de séparation.

Ce film japonais de 2007 est basé sur une l’histoire véridique d’une famille prise dans les tremblements de terre de Niigata de 2004. Le sujet de base implique une famille consistant du père, du grand-père, du fils et de la fille, la mère étant décédé quelques années auparavant.  Ils vivent dans un village rural. Un beau jour, en revenant de l’école, les enfants tombent par hasard sur un bébé shiba inu abandonné. Le petite fille tombe immédiatement amoureuse de ce bébé shiba. Au début, ils essayent d’éviter de s’en occuper mais comme le petit chiot les suit, ils finissent pas lui apporter à manger en cachette, car ils ne peuvent pas l’emmener à la maison, le père ayant peur des chiens.


Mari bébé, suivant les enfants

Mais au final, les choses finissent par s’arranger et le chiot finit par être accepté à la maison. Plus tard, le chiot, Mari, grandit  et devient adulte. Elle donne naissance à trois petits chiots.

Lorsque le séisme frappe, le fils est sauf à l’école, le père survit au séisme en ville, mais la fille et le grand-père se retrouvent piégés dans l’effondrement de la maison. Mari, après s’être coupée les pattes à essayer de les déterrer, cours chercher des secours sous la présence de travailleurs des Jietai (force d’autodéfense japonaise ou militaires japonais), mais le grand-père étant gravement blessé, les secours doivent se dépêcher de partir et abandonnent la chienne et ses chiots au village.

2. L’histoire vraie

2.1 Trois chiots nacquirent le jour du tremblement de terre

Le jour du 23 octobre 2004, un chien nommé Mari donna naissance à trois chiots dans le village de Yamakoshi, Préfecture de Niigata au Japon. Ce soir, un sévère tremblement de terre a secoué Niigata et a complètement dévasté le village, faisant s’écrouler pratiquement toutes les maisons, incluant celle où vivait Mari. Durant le séisme, les chiots nouveau-nés furent éjectés loin de leur mère, et comme ils avaient les yeux clos, ils ne pouvaient retrouver leur chemin vers leur mère. Aussi comme elle était attachée par une laisse, elle ne pouvait pas les atteindre. Elle tira de nombreuses fois sur sa laisse, mais sans succès. Puis de nombreuses secoussent se reproduirent et Mari tira encore plus fort, si bien que son cou commença à saigner. Puis un autre choc plus fort se fit ressentir et Mari lutta de toutes ses forces , et sa laisse se détacha. Elle attrapa rapidement ses chiots et les déplaça vers un endroit sûr, et sans prendre le temps de se reposer courru vers la ruine qui était autrefois sa maison.


La vraie Mari et ses chiots

trois qualités définissent les vraies shiba inu: Kan’i, Ryosei and Soboku.

Kan’i est traduit par « vive audace » et signifie « bien équilibré, courageux et plein d’assurance ».
Ryosei (”bonne nature ») se réfère au caractère loyal et obéissant du shiba et à ses sens très développés qui font de lui un gardien idéal.
Soboku se rapport à la beauté naturelle de l’esprit, signifiant que le shiba est simple, enjoué et spontané.

2.2 Sauvetage courageux du grand-père

Le grand-père de la famille de Mari était seul à la maison en ce jour. Il vivait au deuxième étage, mais il souffrait d’une affection neurologique qui l’empêchait de se tenir debout sur ses jambes ou de monter des escaliers, sans assistance. Après le tremblement de terre, le vieil homme se retrouva immobilisé car piégé par une armoire qui s’est écroulé. Après les secousses, le vieil homme se retrouva dans les ténèbres totales, incapable de bouger, et tomba dans un désespoir si complet qu’il songea à la mort. Alors, Mari apparu dans sa chambre dévastée au second étage et le regarda comme pour lui donner du courage. Le grand-père tombait dans l’inconscience lorsqu’il  vit Mari et il se raccrocha à la conscience et à la vie, et garda espoir même étant immobilisé.  Mari lui lécha le visage  pour l’encourager et descendit plusieurs fois à l’étage du dessous pour veiller sur ses petits puis retourna pour veiller sur le vieil homme. Elle effectua des aller-retour de nombreuses fois malgré ses pattes blessées et coupées par les éclats de verre et de porcelaine qui recouvraient le sol. Chaque voyage lui causant de nouvelles blessures, mais Mari réussit à apporter de l’espoir dans le coeur du grand-père, et en voyant Mari il se dit « Je dois continuer à vivre, je ne dois pas abandonner ». Finalement il poussa sur l’armoire de toutes ses forces, il parvint à la déplacer et à se libérer. Puis avec les encouragements de Mari, il réussit à descendre les escaliers, ce qui lui prit deux heures, chose qu’il n’aurait jamais pu faire seul sans aide. Arrivant au rez de chaussé il fut soulagé et heureux de trouver les trois chiots sains et sauf et en bonne santé.

2.3 Une triste séparation et de nouvelles épreuves

Après le séisme du 23 octobre 2004, le village de Yamakoshi était dans un état de destruction totale et était isolé de tout puisque toutes les routes étaient coupées. Et avec des secousses incessantes qui suivirent, cela augmenta le risque de glissement de terrain, et donc le 25 octobre, tous les villageois furent évacués par hélicoptère pour un centre de réfugiés proche. Après ces circonstances le grand-père fut forcé de laisser Mari et ses chiots car dans le cas de cataclysme naturel, sauver les vies humaines était la priorité. Il laissa toute la nourriture pour animaux qu’il avait à son chien, en priant qu’elle et ses chiens puissent survivre, et il lui enleva son collier. Et sans avoir d’autre possibilité, il embarqua dans l’hélicoptère en laissant derrière celle qui lui sauva la vie, et il lui dit avec culpabilité et tristesse, « Je suis vraiment désolé Mari », et il sentit son coeur se briser lorsque Mari envoya un profond hurlement.

Le temps passant, et les rations alimentaires disparaissant, Mari dû chercher de la nourriture dans le village abandonné, subissant de nombreuses épreuves alors qu’elle essayait de protéger ses petits chiots. Et durant tout ce temps, le grand-père pensait continuellement à sa chienne, et voyant les secousses suivantes avec anxieté, il tomba malade et dû être hospitalisé. Deux semaines après l’évacuation, les villageois furent autorisés à retourner à Yamakoshi pour voir leur maison. Parmi les gens autorisés à revenir, il y avait le fils du vieil homme qui commença à rechercher Mari. Lorsqu’il la trouva il remarqua qu’elle avait beaucoup maigrit, et elle hésita un instant lorsqu’elle eut entendu son nom mais après fonça vers lui. Il l’entoura de ses bras un long moment. Mari n’avait pas eu assez de nourriture pour elle même, mais elle nourrit ses petits avec son lait et se’en occupa aussi bien qu’elle pu. En constraste avec leur mère si maigre, les petits étaient bien dodus et en bonne santé. Le fils fut enchanté de découvrir les petits chiots grandir en bonne santé.

Avant que le village Yamakoshi fut reconstruit, les villageois restèrent dans des maisons temporaires dans un ville proche. Etant en charge des affaires de publicité pour le commité du village, le fils était un homme occupé et il plaça Mari et ses chiots au soin d’une autre famille. Lorsque le grand-père était toujours à l’hopital, celui qui s’occupait de Mari à ce moment la prit avec lui pour visiter le grand-père. Après avoir subit un nombre incalculables d’épreuves, le vieil homme et Mari furent enfin réunit. Mari était très heureuse de voir l’homme, qui lui dit les lèvres tremblantes et les yeux pleins de larmes: « Merci d’avoir sauvé ma vie ».

Alors en avril 2005, le grand père pu quitter l’hopital et commença à vivre avec son fils et Mari dans un appartement. A ce moment les trois chiots de Mari furent adoptés dans d’autres familles et grandirent en bonne santé dans leur nouvelle maison. Aujourd’hui, le grand-père et sa famille vivent toujours avec Mari dans l’appartement et attendent de pouvoir retourner dans le village de Yamakoshi.


la vraie Mari retrouve le grand-père

2.4 Feux d’artifice pour Mari

L’histoire touchante de Mari, qui illustre la confiance mutuelle et l’amour entre les humains et les animaux qui les aident à traverser des épreuves, a été fréquemment rapporté dans les différents médias et a été adapté dans un livre d’histoire illustré: « Mari du village de Yamakoshi et ses trois chiots ». Le livre a reçu une réponse gigantesque au Japon et a servit d’inspiration pour les victimes de désastres. L’entreprise qui a publié le volume a contribué, en offrant une partie des revenues des ventes, à la reconstruction du village et à donner des fonds pour aider les victimes des zones touchées par le tremblement de terre d’octobre 2004, et distribua gratuitement le livre aux enfants du village de Yamakoshi et des treize villes envirronnantes.

Le 2 août 2005, les villageois organisèrent un feu d’artifice dans leur ville refuge  comme ils le faisaient chaque année dans leur village, et l’évènement de cette année à été intitulé « Feu d’artifice pour Mari ». Participant  aux festivités, ils souhaitèrent que le village de Yamakoshi soit rapidement reconstruit. Au milieu des éclairs éblouissants et de la fumée des feux d’artifice, le sourire irradiant de Mari semblait remplir le ciel étoilé, apportant de l’espoir et des encouragements aux villageois.

3. Critique

Dans le film de 1988 intitulé « L’ours », deux ours bravent les dangers de la vie sauvage dans le but de survivre. le film « L’ours » présente très peu de dialogue humain, mais la détresse de les ours reste captivante, et le film marqua les histoires de survit des animaux. On peut espérer la même chose d’une histoire basée sur l’histoire vraie de « Mari to koinu no monogatari », puisque le matériel du film implique un film touchant sur des chiens survivant miraculeusement aux obstacles naturels. Toutefois, le metteur en scène Ryuichi Inomata et son équipe de trois scénaristes ont produit au contraire un film dont le nom plus apprioprié aurait dû être: « le conte des chiots et des enfants qui les aimaient ».

Adapté de la nouvelle graphique « Mari de Yamakoshi et les trois chiots », le film est basé sur une histoire vraie qui montre comment un chien et ses chiots ont survécu aux conséquences du séisme Chuetsu de magnétude 6.9 en 2004. Les chiens furent abandonnés durant les efforts de secours d’urgence, bien que la maman chien prit part au sauvetage de ses maitres. La version dramatisée de l’histoire fait intervenir les enfants Aya et Ryota pour entrer en compétition avec les chiots pour le titre de « Sujet le plus mignon du film ». Ici les enfants sont les gens qui ont trouvé Mari, le chiot abandonné, et ont décidé de le ramener à la maison. Après quelques efforts et l’aide de leur grand-père (qui, à l’inverse des enfants, existe dans l’histoire vraie », Mari devient un membre de la famille.

Le film prend le premier acte pour présenter comment Mari est accepté dans cette famille et comment ils en sont venus à l’aimer. Metteur en scène vétéran Inomata place Mari et les enfants au centre de la famille. Bien que les enfants soient vraiment mignons et adorables, Mari est clairement la star du film. Le chien prend un rôle même plus important devenant de façon inexplicable mère de trois petits chiots encore plus mignons.La vie est belle jusqu’à ce que le tremblement de terre frappe la ville, emprisonnant Aya et son grand-père dans la maison écroulée. Après de nombreux efforts pour protéger ses propres bébés, Mari arrive même à sauver la vie de Aya et son grand-père en conduisant les sauveteurs à la maison écroulée. Totuefois, comme c’est le cas dans l’histoire vraie, Mari et les trois chiots sont forcés de rester au village dévasté et de subvenir à leur besoins par eux-mêmes dans le village détruit.


Mari et ses trois chiots

Puisque le film est supposé être sur Mari et ses trois chiots (comme l’indique le titre du film), on peut espérer que l’attention sera particulièrement mise sur comment les chiens ont pu survivre aux épreuves. Mais Onomata n’accorde que dix minutes lors de la seconde heure pour montrer ce qui arrive aux chiens. A l’inverse de ce qu’on pourrait attendre de l’histoire vis à vis du titre « Le conte de Mari et des trois chiots » concerne actuellement avec la façon dont les enfants réagissent sur le fait d’abandonner leurs chiens chéris. Les créateurs du film traitent même brièvement avec le sentiment de culpabilité  des survivants, comme le grand-père se lamentent sur le fait d’avoir été forcé d’avoir abandonné les chiens. Toutefois, les créateurs du film ont même été jusqu’à couvrir aussi les autres habitants du village affectés par le tremblement de terre. Le résultat est là: les épreuves des chiens sont presque complètement ignorés lorsque le troisième acte se déroule.

Inomata définit une relation affective entre les chiens et leurs propriétaires, très étendu, et la scène de Mari courrant après l’hélicoptère qui emmène les réfugiés loin du village est garantie pour faire fondre le coeur de n’importe qui. Toutefois, la mise en scène sert plus aux enfants qu’au chien. Lorsque le tremblement de terre frappe, le film place une quantité de temps assez frustrant sur les humains en péril, au lieu de se concentrer sur la question à un million d’euros « comment les chiens ont-ils réussit à survivre? ». Les enfants finissent par se mettre dans des situations périlleuses plus sérieuses, et vole ainsi plus de temps d’écran aux chiens, lorsqu’ils essayent de sauver les chiens eux-mêmes. Heureusement, les enfants sont des personnages sympathiques qui méritent qu’on les suive, en grande partie grâce à leur performances touchantes. Toutefois, le scripte tombe profondément dans les conventions des drama télévisés, avec des émotions exprimées dans des discours prolongés sur le fait d’être un parent et de protéger ceux que l’on aime.

Les amoureux des chiens peuvent être un peu déçus par « Un conte de Mari et des trois chiots » s’ils espèrent un film sur « comment quatre chiens réussirent à survivre miraculeusement  une situation extraordinaire.  Le film est vraiment sur comment deux familles, une humaine, une de chiens, protègent leurs enfants. Malheureusement, l’équilibre est déplacé; le film est plus axé sur la situation désespéré de la famille humaine sur celle de la famille de chiens, rendant ce film comme un autre film sur les valeurs de la famille faisant figurer des petits chiens très mignons. Toutefois, « Un conte de Mari et des trois chiots » reste un film très touchant qui peut être destiné à la famille entière. Même les amoureux des chiens ne quitteront pas la salle déçus, autant qu’ils restent après le défilement des crédits pour voir les photos des vrais chiens.

5. Mon avis

Un film superbe! Mais vraiment, vraiment, vraiment très beau! Malheureusement la version que j’ai réussi à obtenir avait des sous-titres anglais de mauvaise qualité. Mais avec quelques notions de japonais on y passe facilement outre. Mais revenons au film lui même… La musique est superbe, enivrante, elle rend certaines scènes très tristes plus supportables et ajoute une touche d’humour au scènes amusantes. Les acteurs sont grandioses, avec une mention spéciale pour les deux enfants qui jouent merveilleusement bien. Leur jeu est tellement réaliste qu’on s’y croirait vraiment. Le film présente aussi les conséquences d’un tremblement de terre. Outre le fait qu’on ne voit pas assez les chiens alors qu’on s’attendrait à les voir plus au premier plan, et bien que le film reprenne les clichés des drama télévisé, les scènes qui présentent Mari et ses chiots sont vraiment superbes, adorables. Quelque part on retrouve l’idée de yôjû mameshiba, où bien que le titre du film fait penser qu’on aura quelque chose sur un shiba inu,  ça n’est pas vraiment le cas. Mais ça n’enlève rien aux jeux des acteurs qui sont formidables, aux quelques scènes (insuffisantes à mon goût) avec les petits chiots si mignon. Le film offre aussi une vision des tremblements de terre, et des conséquences et de ce fait c’est vraiment intéressant, surtout lorsqu’on ne connait pas. J’ai adoré…

Toutefois, le film ne ravira peut-être pas le coeur de ceux qui ne s’intéressent pas aux films sur les animaux, à ceux qui n’aiment pas les drama, et ceux qui n’aiment pas les films japonais. Je pense qu’il faut être fan, quelque part… Mais quoi qu’il en soit, le film offre une belle brochette d’acteurs connus et réputés au Japon. et c’est un vrai régale que de les voir jouer.

pour voir le film: >ici<
sources: wikipedia japon
blog du film: http://blog.mari-movie.jp/

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