Juin 092007
 

passage nidan
Samedi 9 juin 2007 : 14h passage de grade FFKDA du 2e dan de Nihon Tai jutsu.
Durant toute la semaine j’ai commencé à angoisser, à devenir même invivable (mais c’est toujours comme ça avant un examen pour lequel je me suis beaucoup investis psychologiquement).
Arrive le moment tant attendu et tant redouté: le samedi!
Je retrouve mon partenaire et ami Sandy à Metz pour échanger une ou deux fois avec lui.
Recadrer le travail à deux, revoir des détails, et surtout essayer de s’accorder compte tenu que lui s’entrainant à Metz et moi à Strasbourg, on n’a pas beaucoup l’occasion d’échanger ensemble.
Et surtout essayer de se déstresser mutuellement.
On ira ensuite manger un plat de pâte afin d’avoir suffisament de sucres lentes pour supporter les 4 heures de passages.
Ensuite on ira rejoindre l’ensemble des candidats à Pont-à-Mousson.
Vik Bhadye, fera partie de notre jury. Il a eu l’amabilité et la gentillesse d’accepter la charge de se lever très tôt (5h30 du matin) pour venir de Paris (puis repartir à la fin des épreuves pour rentrer sur Paris après 21h) nous juger.
Merci à lui pour sa disponibilité et la gentillesse qu’il fait preuve lors des examens, des stages, de l’arbitrage et dans la vie de tous les jours.
Nous seront 8 à passer avec le jury des « jutsu »:
2 copains du Tai-jutsu, 5 personnes du Nihon Tai-jutsu et une personne du Tai-kung-fu de Metz.
Compte tenu des programmes différents, on est regroupé tout d’abord par style puis ordre alphabétique.
En Nihon Tai-jutsu il y a donc:
Jean-Marc Schmidt pour le 3e dan, Pascal Pesta pour le 2e dan, Gregoire Antoine pour le 1er dan ainsi que sandy et moi-même pour le 2e dan.

On commence par l’épreuve de kihon.
Nous avons pour épreuver d’effectuer devant le jury, nos déplacements de base (tai-sabaki) avec contrôle et riposte, puis effectuer quelques ukemi (une roulade avant, une chute létérale et une roulade arrière).
La démontration des tai-sabaki est contrairement à ce qu’on peut voir de l’extérieur une épreuve qui n’est pas si facile que ça.
En effet, lors des déplacement on voit tout de suite le manque de stabilité, le manque de « kime », le regard qui ne suit pas.
Ma prestation est selon moi déçevante: je sors trop de l’axe ou pas assez, je ne repousse pas assez lors des parades, mon regards fuit le jury et de ce fait est un peu désaxé par rapport à l’endroit où se trouve l’attaquant imaginaire.
Je manque de souplesse.
Lors des roulades je prends conscience que si j’enchaine les roulades je me retrouve dos au jury.
Donc après la première roulade je me replace pour rester face au jury. Seulement dans la précipitation de me relève de la première roulade avec un atemi. Réalisant l’erreur, j’ai un petit blocage lors de la roulade arrière, qui amène un temps d’hésitation.
Les Tai-jutsuka auront droit à du kihon typiquement karate, avec noms des dachi, noms des déplacements et nom des techniques en japonais.
Au final ils se feront recaler sur ce module. Ce qui est injuste car ils ne le travaillent pas beaucoup en club mais cela fait partie de leur passage.

Vient ensuite l’épreuve du kihon ippon kumite.
Je ne travaille pas avec Sandy, car il a servi de partenaire à Greg et vient de finir son épreuve.
Pascal, devenu mon partenaire pour le moment, m’attaque énergétiquement. Je n’ai jamais eu l’occasion de travailler cette épreuve réellement avec lui. Néanmoins mon statut de SDF (Sans Dojo Fixe) m’amène à m’entrainer avec de nombreux pratiquants, de taille et d’origine martiale différente m’a appris à m’adapter facilement.
Mes déplacements ne sont pas très bons, ma jambe traine. Je n’ai pas encore réussis à réguler mon stress. Certaines techniques sont bonnes, d’autres mal cadrées.
Je touche Pascal une fois à la tête. J’essaye de varier mes formes d’atemi: aito, shuto, uraken.
J’en oublie les jambes. En y pensant, je change une attaque au dernier moment et donne un coup de pied avec une mauvaise distance dans la hanche (sans puissance et en touchant).
J’avais dit que je ne ferais pas de projection, seulement voilà sur l’attaque en mawashi geri, j’ai une prise de conscience et envoie une projection par clef de genou.
Sur le yoko geri final, j’ai une hésitation, je ne sais pas quoi faire… je donnerai au final hizageri dans le dos.

Puis l’épreuve final du tronc commun: le kata au choix.
Si je me trompe, c’est l’échec assuré. Se tromper dans le kata que l’on a choisi est synonyme de recalage.
Je décide de faire le 3e kata. C’est un peu risqué car c’est un kata durant lequel je me trompe souvent quand je suis stressé.
C’est aussi le kata que j’avais fait durant la compétition open de kata à Amnéville (et qui m’avait propulsé en 3e position… enfin avant dernier).
D’habitude, je le réalise en forme entièrement chinoise, de façon déliée, souple et fluide. Mais là il sera trop haut, saccadé et un peu raide.
J’essaye de mettre autant de fajing sur chacun de mes mouvements, quelque soit le type, parade ou atemi.
J’étais dans un état de conscience modifiée et je ne peux pas dire si j’ai réussis à mettre de la patate sur toutes mes techniques.
J’observerai avec attention le quyen du camarade du tai-kung-fu. Tout en fluidité et en souplesse.
Vraiment très beau.

Puis il y aura un bon moment d’attente, pour savoir si nous avons le nombre de points nécessaires pour avoir le tronc commun et ainsi continuer l’aventure avec la partie spécifique.
Après quelques dizaines de minutes, on nous communique les résultat. Nous sommes tous sélectionné pour continuer l’aventure, sauf les copains du Tai-jutsu qui se feront recaler sur le Kihon karaté trop hésitant.
La suite du programme se présente de la façon suivante:
– kata imposé à tirer au sort, base et self technique, kihon waza puis randori en cercle.
Cette fois ci on passe par ordre alphabétique. Je suis donc 4e dans la liste.
Greg effectue un kihon kata avec Valérie. Je n’ai pas vraiment fait attention même si j’y ai vu quelques erreurs. Je me concentrais dans la visualisation des katas que je dois démontrer.
Sandy tire le sandan qu’il réalisera avec Pascal.
Je souhaite avoir le nidan qui est le kata où j’ai le plus de chance de m’exprimer pour l’avoir travailler avec Sandy et Pascal.
Le sandan, je l’ai travaillé avec Sandy mais doit le présenter avec Pascal compte tenu du fait que Sandy a des séquelles de projections difficiles qu’il ne souhaite pas aggraver (et difficile de continuer le passage si on est séché sur une projection).
Je viens pour tirer mon kata, les petits papiers sont entrouvert et je peux y voir de l’écriture. Je ferme les yeux immédiatements pour ne pas tricher et voir si la chance me souris.
Ce qu’elle a fait, je tire le kata nidan, qui se déroule à trois.
On se met en place, pour donner de la gueule au kata et montrer que c’est moi qui le passe et qui maitrise la situation, j’annonce les commandement: Yoi! Rei!
J’annonce le kata: Nihon Tai jutsu No Kata Sandan!
Mes uke se retrourne on se salut, on ouvre le kata. Je rentre dans leur axe d’attaque.
Sandy derrière moi tente de me ceinturer pendant que Pascal m’attaque d’un zuki  jodan.
Je stoppe sandy d’un coup de coude et part l’attaque d’un jodan age uke. Puis je contre-attaque.
C’est une poursuite! Je dois enchainer deux zuki suivit de deux mae geri en augmentant le rythme pour déborder Pascal.
Oizuki! j’augmente la vitesse! oizuki! mon genous se bloque et le mae geri droit ne part pas… j’enchaine rapidement mae geri gauche pour planter Pascal.
Sandy planté sur le coup de coude se relève, me suivit et m’attaque par derrière mae-geri gauche, puis gyakuzuki droit et enfin oizuki gauche.
Je me retourne en gedan barai droit forme shorinji kenpo, puis age uke du même bras. Je sors de l’axe pour parer le dernier zuki avec une parade moyenne forme kenpo de la main gauche pour finir par une attaque coup dep oing direct droit.
Sandy esquive mon zuki et essaye de me planter sur un autre zuki. Je sors une deuxième fois de l’axe et riposte par un coup de poing direct qui le plante.
Pascal m’attaque par la gauche. J’absorbe l’attaque par un shuto et le saisie avant de le sécher avec un shuto sur le cou.
Sandy se déplace et m’attaque par derrière d’un coup de poing direct, j’absorbe de la même façon et le plante définitivement d’un shuto au cou.
Pascal m’attaque par la gauche de deux mae-geri.
Je ne me suiviens plus mais je crois m’être cassé en deux sur les deux gedan barai forme shorinji kenpo.
Je dois attaquer avec un mae geri gauche.. mais c’est mon genou droit qui part mais se bloque, je balance le gauche mais cette seconde, qui m’a paru une éternité peut passer comme une hésitation.
Pascal anticipe et à donc reculé avant l’attaque. Je suis obligé de bondit en mae-geri gauche oizuki jodan gauche pour le planter avec un gyakuzuki droit.
Le kata est fini, il faut se relever.
La difficulté de travailler avec Sandy et Pascal est que nous trois n’étions pas d’accord sur la façon de refermer le kata.
Je me mets en garde à droite, mes uke se relèvent en garde à gauche. Je passe en garde à gauche ils reviennent en position neutre. Je repasse en position neutre.
On ferme le kata, on se salut. Puis on se remet en position face au jury. On est censé saluer droit devant mais comme on est décallé par rapport au jury Pascal salut en biais… Le salut est désynchronisé. Merde!
Je sors du tatami un peu déçu… j’étais censé faire bonne impression sur ce kata mais j’ai complètement merdé.
Je me dis qu’il faut absolument que j’arrache sur les autres parties.

Puis C’est au tour de Pascal de tirer un kata. Avec Sandy, on lui sert de Uke puisqu’il a tiré le nidan.
Impossible de faire un compte rendu du kata, j’étais ailleurs, j’attaquais fort.
La seule chose que je me souviens c’est la fermeture du kata un peu irrégulière, on se replace de travers pour être cohérent avec Pascal, et on salut le jury en biais.

Vient en ensuite le tour des bases et techniques de self.
Je propose à Sandy et Pascal d’être leur Uke, car j’appréhende moins les chutes et donc ça leur permettra de rentrer à fond.
En plus Pascal étant nerveux a tendance à rentrer en force ses projections sans trop amener de déséquilibre. Ce qui risque de casser Sandy et le blesser pour la suite.
Moi je n’ai pas peur de me jeter dans la chute.
Greg passe avec Valérie. Je ne regarde pas, je m’occupe de régler les détails avec Sandy et Pascal de ce changement de Uke.
C’est ensuite au tour de Sandy.
Je lui fais les saisies de base. Il se lache dans les formes de clefs et de projections. il sait qu’il peut y aller.
Puis les 4 techniques de self seront des attaques au couteau. dans 4 directions: haut en bas, gauche droite, droite gauche et de bas en haut.
Je me concentre sur l’atatque et je ne perçois pas ce qu’il me fait. Je sens un temps mort dans une technique, mais tout est fait en absorption, en esquive.

Puis ce sera mon tour.
J’ai deux bases clefs (la 4 et la 8)
et deux bases projections: la 2 et la 6.
Je suis dans un état second, je ne sais plus quelle base me sont demandées mais je réagis sur les saisies.
On me demande la 6e base projection, je lève les deux mains pour que Pascal choisisse un poignet à saisir avec les deux mains.
Il me saisie les deux poignets à une main. J’ai un temps d’hésitation.
Merde! Merde! Merde!
Normalement je dois faire tamara guruma… mais sur cette saisie c’est impossible.
Instinctivement, je fais la projection numéro 5.
Le jury me demande de la refaire.
Pascal me saisit les deux poignets et je refais la projection numéro 5.
Le jury demande alors à Pascal de me saisir un poignet à deux mains.
J’effectue tamara-guruma, mais comme Pascal ne s’est pas redressé et que je le sens déséquilibré mais affaissé sur moi pour rester dans l’axe de projection je suis obligé de le faire passer par dessus moi en soleil.
L’impact sur le sol sera dur pour lui mais je n’ai pas le choix.
Je sens mon succès à cet examen m’échapper. Je n’ai, jusqu’à présent, pas su réguler mon stress suffisament pour me faire bien travailler.
J’ai merdé mon kata, et je ne suis pas très fier de la façon dont j’ai fait les bases…
Puis j’aurais le droit à 4 attaques de matraque.
je défend avec une clef en enroulement, un ippon seoi nage, et un cubi nage.
Bof bof… mais c’est ce qui sort instinctivement.
D’autant plus que j’ai eu une attaque saisie de revert puis coup de matraque… mais je ne me souviens comment j’ai merdé sur cette technique. Y a quelque chose qui est sorti, mais je ne m’en rappelle pas.
Je sais juste que j’ai un peu merdé sur cette technique, et un peu mailloté.
Avec le recul j’aurais pu m’exprimer avec un yama arashi, un shihonage… techniques que j’aime faire en démonstration.
Puis je deviens le uke de Pascal. Je reçois un coup de pied dans l’entrejambe sur les bases.
J’attaque avec deux attaques au couteau et deux attaques à la matraque.
Mes 4 attaques sont bloquées, et je reçois un coup de pied supplémentaire dans les testicules.
Vient ensuite le tour de Jean-Marc qui se fera toucher deux fois au front sur deux attaques au couteau, ce qui le fera saigner abondament.
Mon couteau philippins en bois aura eu son baptême du sang.

C’est le tour ensuite de l’expression technique sur les kihon-waza.
Sur des attaques imposées, on doit effectuer les différents tai-sabaki avec techniques au choix.
J’attaque sandy 4 fois coup de poing direct et 4 fois en tentatives de saisie.
Je m’éclate à voler sur ses projections et à subir ses clefs jusqu’au seuil de douleur.
Sur ce travail Sandy sait qu’il peut y aller à fond et ne s’en prive pas.
Puis vient mon tour. Je préviens Pascal que je compte lui faire un sutemi et des projections particulières histoire qu’il ne soit pas pris au dépourvu vu qu’on n’a jamais travaillé ensemble.
J’attends les attaques coup de poing avec impatience, j’ai envie de me faire plaisir avec une petite fantaisie.
Le jury annonce les attaques: 4 zuki et 4 poussées poitrine des deux mains.
Je me fais plaisir: sur les zuki j’effectue les techniques 1, 3, 5  et 7 du tai-sabaki no kata.
Premier mouvement, il passe, Pascal fait une belle chute.
Deuxième mouvement, le sutemi, il passe bien… je suis dedans et me fais réellement plaisir.
Troisième attaque, Pascal change de zuki, je reçois un oizuki jodan au lieu de chudan. Merde!
Mon mukae daoshi ne passe pas je suis obligé de mailloter pour finir par le passer en force… avec un petit cri de douleur de Pascal.
Dernier mouvement, ashi mawashi… celui là.. il passe toujours.
Ensuite viennent les poussées poitrines.
J’avais espéré les tentatives d’encerclement pour rentrer yama-arashi, et quelques petites techniques un peu sioux.
Là je suis un peu largué… je me déplace… et il y a des techniques qui sortent spontanément.
Je rentre un mukae daoshi en force, un étranglement pare que j’ai raté mon taisabaki et que je suis trop loin de Pascal.
Puis un sutemi (yokowakare) parce que lors de mon esquive arrière je me suis retrouvé en déséquilibre.
Les mouvements sont sortis tous seuls, j’ai pas trop refléchis. J’aurais pu m’exprimer un peu plus mais l’état de stress m’a fait ressortir des techniques instinctives.. pas forcément belles faute de pratique en club.
Puis je sers de partenaire à Pascal. Je reçois deux coups de pied dans les « choses de la vie ». Et me laisse aller sur les projections. J’attaque dynamiquement. Je me fais bloquer sur les défenses et accepte de voler avec plaisir.
Le stress dope Pascal qui travail fort. Heureusement que j’ai changé de place avec Sandy, s’il avait dû être uke, il aurait dégusté.

Vient ensuite l’épreuve finale: le randori en cercle.
Nous sommes en Nihon Tai jutsu 5 à passer plus deux uke, donc sept.
On fera deux tours donc 12 attaques.
C’est une épreuve difficile, tant au niveau cardio qu’au niveau nerveux.
Attaquer à la suite en se donnant à fond, puis se retrouver au centre à défendre contre douze attaque est assez éprouvant.
Greg commence, puis ce sera sandy qui blessera au genou très légèrement le uke de Jean-Marc (Cédric).
Je suis déjà un peu essouflé par les attaques.
Je suis dans un état de conscience modifié, je n’ai pas l’imression de reflechir.
Les attaques arrivent, je sors une réponse spontanée. Je ne sais plus ce que j’ai fait, je ne sais pas si j’ai bien absorbé, bi esquivé, fait de belles techniques variées.
Lors que mon tour est passé je dois encore attaquer Pascal deux fois, puis Jean-Marc deux fois.
J’ai la nausée, de la bile me monte aux lèvres. il faut vite que je me calme, sinon je vais vomir.
rapidement je fais redescendre la pression, et me calme.
J’attaque Pascal, puis Jean-Marc. Pascal me fera une torsion de la nuque et Jean-Marc me fera une amenée au sol sur son genou.
C’est finis. On se salut, on salut le jury et on sort de la surface de combat en faisant retomber la pression.
Je me suis donné à fond mais je suis très pessimiste quand à l’issu du verdict.
J’ai fait beaucoup d’erreur, et je n’ai pas su réguler mon stress.
Sandy relativise: « au moins on a le tronc commun, on pourra toujours repasser le spécifique en octobre en travaillant beaucoup, ça ira mieux ».
Le jury revient, on nous aligne et l’un après l’autre on nous annonce le résultat:
Greg, reçu au 1er dan
Sandy, reçu au deuxième dan
Pascal, reçu au deuxième dan
Jean-Marc reçu, 3e dan
et moi-même reçu 2e dan.

Je suis vidé physiquement et nerveusement, j’ai mal au dos, au cou et je suis trop épuisé pour apprécier le résultat.
La pression redescendant, mon épuisement laissera place à l’exténuation.

Je suis heureux d’avoir été reçu, mais pas très fier de moi lors de ce passage. Je me sais capable de beaucoup mieux, plus inventif, plus imaginatif, capable de plus de diversité technique.
Mais je n’ai pas su réguler mon stress, et pour couronner le tout j’ai fais trop d’erreur impardonnables à ce niveau.
Je ne pense pas mériter cette sanction. Si je n’avais pas été reçu j’aurais très bien compris et aurais su ce qui n’était pas allé.
Mais bon je suis toujours trop sévère avec moi-même.

J’espère toutefois avoir fait honneur au Nihon Tai-jutsu et à Vik Bhadye ici présent, en me donnant à fond et en essayant de donner le meilleur du Nihon Tai-jutsu même si je n’ai pas complètement réussis à le faire ressortir.

Le passage fut somme toute très éprouvant et nous en payeront les conséquence le lendemain avec des douleurs au cou et au dos (après les percussions malheureuses non contrôlées)

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