Après avoir regardé et apprécié Die Hard 5 avec un de mes acteurs préférés : Bruce Willis, j’ai regardé Expandable 2. J’avais vu le premier opus et je n’avais pas été déçu tant au niveau de l’action que des principes martiaux transmis via ce film. Le deuxième film ne m’a pas déçu non plus à ce niveau et a même rajouté un peu plus de choses qui en font un nanard vraiment sympathique. J’ai en outre vraiment apprécié les principes martiaux qui se cachent dans les scènes de corps à corps.
Acteurs principaux:
Sylvester Stallone: Barney Ross
Jason Statham: Lee Christhmas
Jet Li : Yin Yang
Dolph Lundgren : Gunnar Jensen
Chuck Norris : Booker
Jean-Claude Van Damme : Vilain
Bruce Willis : Church
Arnold Schwarzenegger : Trench
Mon avis
Expandable 2 permet de voir regrouper: Sylvester Stallone, Jason Statham, Jet Li, Dolph Lundgren, Chuck Norris, Jean-Claude Van Damme, Bruce Willis, Arnold Schwarzenegger dans un film. Malheureusement la part belle n’est pas distribuée entre toutes ces stars de films d’action. Cela manque de Jet Lee, de Arnold Schwarzenegger, de Bruce Willis et de Chuck Norris. On s’attends à tous les voir oeuvrer en équipes, mais ce n’est pas le cas, Bruce Willis et Arnold Schwarzenegger sont un peu absent de l’action.
Toutefois le film est drôle, chaque acteurs fait humour de ses rôles passés et n’hésite pas à se moquer de lui-même. On aura donc pas mal de « I’ll be back », ‘I’m back » sans oublier les Mème comme les « Chuck Norris’s Fact ». De nombreux clin d’oeil aux films passés de ces acteurs (références à Rambo, etc), etc.
Outre cela, il est dommage que les combats au corps à corps aient été tournés dans la pénombre. Beaucoup de principes ressortent et sont cachés par les prises de vues. Notamment beaucoup de principes de self-défense urbaine. Certains enchainements pieds-poings sont vraiment très intéressants et de nombreuses liaisons debout-sol sont riches en enseignement (en terme de choses à ne pas faire, ou justement à faire attention à…)
Un film très intéressant à regarder d’un oeil externe pour pouvoir apercevoir les clichés, mais aussi les enseignements de maîtres de l’ombre.