Août 272023
 

Réalisation: Mark Polonia
Scénario: Aaron Drake
Produit par: Mitchell Kerwin (producteur associé), Matt Watts (producteur associé)
Musique: Matt Jantzen, Greg Stanina
Cinématographie: Paul Alan Steele
Durée : 71 minutes
Parution: 15 août 2021

Histoire

Condamnée à répéter les mêmes erreurs qu’elle a commises dans le passé, la société sans scrupules Boswell Corporation est déterminée à exploiter une riche poche pétrolière au large de Cat Island. Cependant, après les événements sanglants de Jurassic Shark : Terreur des mers (2012), le prédateur primitif territorial patrouille toujours dans la crique, affamé de chair humaine. Aujourd’hui, alors que l’énorme Léviathan de 60 pieds rôde sur les côtes, attirant une attention indésirable, personne n’est en sécurité. Bientôt, une poignée d’ouvriers sans méfiance apprendront par eux-mêmes que rien ne peut s’opposer à la nature. Existe-t-il une échappatoire aux mandibules monstrueuses de Jurassic Shark, la bête venue des profondeurs de l’histoire ?

Acteurs

Jeff Kirkendall: Duncan
James Carolus: Roy
Jamie Morgan: Parks
Tim Hatch: Dadds
James Kelly: Mill
Nico Bryant: Barry
Kathryn Sue enfant: Nina Boswell
Titus Himmelberger: Propriétaire de la Marina
Natalie Himmelberger: journaliste
Mark Polonia: Cameraman
Kate Farber: Victime

Mon Avis

Le film commence avec un tyrannosaurus rex en pâte à modelé qui se balade sur la plage. Arrive un mégalodon en plan incrusté qui arrive par un un fond sous-marin d’une profondeur abyssale de 30 cm bondit hors de l’eau et chope le lézard et l’entraine sous l’eau sans jamais fermer sa machoire. Le générique arrive avec le nom des acteurs sur fond de vue de la mer avec une fille qui se met de la crème solaire sur l’épaule, puis qui se marche en bikini dans la mer avec de l’eau jusqu’à la taille et une musique tropicale aux Steel Drum. Le générique termine et l’on voit notre copine qui marchait dans l’eau qui maintenant nage sous l’eau en snorkel. Gros plan sur un serpent de mer, un Laticauda Colubrina de la famille Elapidae que l’on surnomme cobra des mers. Son venin, une protéine neurotoxique puissante, une α-neurotoxine qui perturbe les synapses en bloquant l’acétylcholine pour les récepteurs de la membrane postsynaptique, semblable aux érabutoxines et aux α-bungarotoxines, a une LD50 de 0,45mg/kg avec 95% de limite de confiance sur 0,34 à 0,60mg/kg. Vraisemblablement la bête la plus dangereuse du film, après l’homme…

Puis la fille se fait manger… enfin c’est ce qu’on comprend après cette succession de plans statiques montrant une machoire en avant plan.

Ensuite le film continue avec deux geeks qui discutent et se font enguirlander par un vieux capitaine… on le voit bien, car il a une casquette de capitaine et une pipe à la bouche (qqu’il ne fume pas) et parle avec une voie grave (avec un visage de nourrisson). Il finit par boire au goulot de sa flasque et  dire « Je déteste l’eau ».

Note pour plus tard, comment sait-on qu’un mégalodon approche? On entend ses rugissements… « Shark’s roar », « Shark Growls ». Et là, Cousteau vient de mourir une seconde fois.

Ensuite c’est énoooooooorme car il n’y avait rien de crédible. Les acteurs jouent mal, la dernière fois que j’ai vu des acteurs jouer comme ça, c’était la première saison de N00b, et là les « acteurs » étaient un groupe d’amis qui se tapaient un délire.

ON est quand même bien loin de la qualité de Jurassic Shark et des autres Mega-Shark, Sharktopus, x-headed shark-attack, etc… qui eux sont simplement excellents! Mais le jeu d’acteur, les mauvais effets spéciaux dignes des années 70… c’est énorme!

La Bande Annonce se suffit à elle-même : https://www.youtube.com/watch?v=6gnaI48tTNA

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