Après le petit déjeuner traditionnel de oshôgatsu, à base d’une soupe de mochi (nanagusagayu, 七 草 粥) preparée par la maman de mon amie Saori-san aidée de ses filles.
Je suis parti pour un des plus important jinja de Sendai avec Saori-sanet sa soeur Miho-san. Malheureusement il y avait 800 mètres de queue.
J’ai abandonné l’idée d’aller là-bas. Du coup Saori-San et Miho-San m’emmène dans un autre jinja, et en chemin je fais quelques découvertes…
Une idée de péage de parking intéressante, après avoir garé la voiture une plaque de métal se lève et bloque la voiture jusqu’à ce que le prix du parking soit payé.
Un pont qui permet de rejoindre la périphérie de Sendai (j’ai oublié son nom)
La rivière Hirosegawa
Un kôban (交番), poste de police
Je suis allé dans un autre jinja, prier, tirer le omikuji pour l’année et acheter un omamori.
Certains jinja sont très petits
Nous avons ensuite été dans un kissaten traditionnel déguster un verre d’amazaké, un saké chaud non alcoolisé.
Amazaké
Du thé vert que je n’avais pas encore goûté
Puis Saori-san et sa soeur Miho-san m’ont emmené au chateau de sensai, fief de Date Masamune.
Entrée du Fief
Un petit jardin japonais
Un Jinja à l’intérieur du Lieu
Statue de Date Masamune
Vue panoramique (cliquer sur la photos pour la taille originale)
Panorama de Sendai (l’océan au loin)
Panorama de Sendai (la montagne)
Le soir, repas traditionnel de oshogatsu avec toute la famille
Au centre (des kamaboko, 蒲鉾)
Hideo-san, le mari de Reiko-san avait préparé un gâteau au chocolat. C’est un homme d’une extrême gentillesse, chaleureux, qui aide sa femme dans les tâches ménagères et qui cuisine. C’est le symbole du japonais moderne qui casse l’image qu’on se représente. Évidemment, nomikai, et encore une grosse consommation de saké. La famille de Saori-san tient tellement bien l’alcool qu’une fois de plus je finis comme eux, rond comme une queue de pelle.