Une statue dédiée à Kanchô
Kanchô (カンチョー, kanchô) est une farce souvent jouée au Japon; on la fait en joignant les mains paume contre paume, en refermant tous les doigts sauf les index pointés, serrés l’un contre l’autre, en essayant de les insérer dans la région anale d’une victime lorsqu’elle ne regarde pas. C’est similaire au « wedgie » (une farce qui consiste à tirer le sous-vêtements hors du pantalon d’une victime ou pour lui faire rentrer dans les fesses) ou au « goosing » (une farce qui consiste mettre la main aux fesses de quelqu’un et de les peloter ou les pincer), bien que comparé au kanchô, ces deux dernières farces n’implique pas un contact physique qui est aussi intime et direct. Kanchô est souvent effectué simultanément en criant le mot « kanchô » avec une inflexion sur la deuxième syllable « chô »: « kan-CHOOOO! »
1. Etymologie
Le mot est une adoption argotique du mot japonais pour la poire à lavement (浣腸, kanchô). Conformément avec la pratique largement diffusée, le mot est généralement écrit en katakana lorsqu’il est utilisé pour son sens argotique, et en kanji lorsqu’il est utilisé pour signifier la poire à lavement dans un contexte médical.
2. Portée
La farce est omniprésente au Japon. Il y a de nombreux dessins animés pour enfants qui glorifient cet acte (comme dans l’anime Naruto, où kanchô est appelé « les mille ans de douleurs », « sennen goroshi », 千年殺し). Au Japon il y a même un jeu télévisé dans lequel une célébrité kanchôise des gens au hasard.
sennen goroshi
Cette farce n’est pas exclusive au Japon. En Corée du Sud, elle est connu comme « ttong chim » (aussi romanisée « dong chim » ou « ddong chim » et grossièrement traduit par « aiguille à caca ») et aux Philippines, il est connu comme « katsibong », « bembong », « bombet » ou « pidyok », du mot philippin « tumbong » signifiant rectum. Il est aussi parfois utilisé comme « Pistolet à Rayon », à cause de la technique similaire du caractère principal de Yu Yu Hakusho, Yusuke Urumeshi, qui a été traduit en tant que tel.
Dans certains pays, l’acte de kanchô peut être illégal et peut être considéré comme étant du harcèlement sexuel, ou même comme une agression sexuelle, bien que l’on donne aux enfants plus de mensuétude et d’indulgence. Bien que cette pratique soit connu en Corée du Sud, il y existe des cas pour lesquels des adultes qui l’ont exécuté se sont fait arrêtés. Toutefois au Japon, il est considéré comme une farce puérile plutôt que comme un acte criminel.
En février 2006, Nanmon Kaiketsu Organization (organisation pour résoudre les problèmes difficiles) a émis l’hypothèse que l’indulgence à long terme de kanchô pouvait avoir un résultat indirect sur l’évolution galopante des attouchements à travers le Japon.
3. Boong-Ga Boong-Ga
Boong-Ga Boong-Ga (japonais: 浣腸ゲーム, kanchô gêmu), aussi connu comme « Spank’em » (« farce-les »), est un jeu d’arcade développé en Corée du Sud par l’entreprise Taff System. C’est le premier jeu d’arcade à simuler kanchô, une farce puérile très populaire au Japon, où la victime se fait titiller la région anale par deux index alors qu’elle était distraite.
Le jeu a reçu un très mauvais accueil sur internet en 2001 à cause d’une fiche publicitaire très mal traduite, faisant la promotion du mode de jeu bizarre orienté vers ce type de farce particulière qu’est kanchô. Boong-Ga Boong-Ga a été à l’origine fabriqué pour le marché japonais, et avec un bon support publicitaire correct, il fut très bien reçu au Tokyo Game Show de 2000.
3.1 Sujet
L’objet de Boong-Ga Boong-Ga est de faire des points en faisant des farces ou en exécutant kanchô sur le modèle d’un postérieur humain intégré à la cabine de jeu. Un doigt en plastique est attaché à la machine pour que les joueurs puissent faire kanchô.
Le jeu présente huit personnages que les joueurs peuvent punir: « ex petite-amie » « ex petit-ami », « bandit », « belle mère », « mineur », « prostituée », « violeur d’enfant », et « escroc ». Durant le jeu, l’expression faciale du personnage choisit est affiché sur le moniteur. Elle varie en fonction de vos actions.
Le jeu donne aussi des cartes qui notent le joueur sur son « comportement », durant le jeu et pour les joueurs qui jouent exceptionnellement bien, la machine leur offre un petit trophé en plastique sous la forme d’une pile de déjection.
4. Introduction dans l’art de kanchô
* Préparation – choisir une victime, qui est de préférence distraite, et faire votre approche par derrière.
* Action
1. Cibler précautionneusement. Un Kanchô mal placé pourra avoir comme résultat des doigts cassés ou pire encore. Mais aussi ça permettra à la victime de réagir suite à la perte de l’élément de surprise. (Voir figure 1)
figure 1
2. Former « le poing universel kanchô » en plaçant vos paumes des mains l’une contre l’autre, en entrelacant les doigts de la main droite avec ceux de la main gauche, en laissant les deux index pointés (voir figure 2)
figure 2
3. aligner les doigts F avec le point d’impact qui est la zone B. (voir figure 3)
figure 3
4. Insérer le point F dans la zone B en criant « kan-CHOOO! »; utiliser de la force si nécessaire. (voir figure 4)
figure 4
5. Apprécier (ou pas).
* Astuces – pour économiser du temps durant le kanchô, vous pourrez former l »e point universel kanchô « une nuit avant, pour être sûr d’être prêt au moment venu. Pour s’assurer une retraite rapide, considérez utile de vous joindre à un club de course à pied et de suivre un entrainement adéquat.
**WARNING** Vous effectuez Kanchô à vos propres risques et périls. Bien que cela soit une farce, une blague, l’action de kanchô peut être considéré comme du harcèlement sexuel. ShinRyû n’encourage ni n’excuse l’acte de kanchô à moins qu’il y ait le consentement écrit de la victime.
5. Kanchô spectaculaires
6. Recommandations
Ceci peut arriver à toutle monde et à tout instant. EN conclusion, il y a quelques règles qu’un gaijin doit respecter pour limiter les dangers de kanchô.
1) Ne jamais tourner le dos à un écolier japonais (les filles ne font pas exception)
2) Ne jamais se pencher en avant
3) Ne jamais faire confiance à personne. Eviter tout le monde.