Mon aventure commence à six heures du matin. Il faut se préparer pour prendre le RER à sept heures et demi, pour rejoindre le Roissy-Bus et être au terminal 1 pour neuf heures.
dans le terminal 1, en route vers le point d’embarquement
Le décollage est prévu pour dix heures quarante-cinq. Dans ce genre de situation, c’est comme d’habitude, attente,attente et attente.
Finalement j’arrive a Francfort a midi, pour un décollage à une heure trente cinq.
à Francfort, présentation du nouveau coupé BMW série 4
Mon avion est un Boeing 747
Ma chance légendaire a encore frappé… Devant moi un gosse de 4 ou 5 ans, derrière moi deux gamin de 2 à 5 ans et a côté de moi une petite gosse de 3 ou 4 ans. On n’a pas encore décollé que l’enfer commence. Le môme de devant commence a hurler… Pas pleurer… Hurler!!! Et il ne s’est pas arrêté ! ! ! Quand sa mère l’a emmené autre part, c’est le démon d’à côté qui s’est mis a chialer, pendant que l’ėtron de derrière braillait et que son frère puant chignait. Et ça n’a pas arrêté. Pas une seule seconde. Et pendant les onze heures de vol, je n’ai pas fermé l’œil. Et pire que ça, je suis arrivé énervé. Les parents des mômes, des débiles mentaux incapables de calmer leurs démons. Les mômes étaient à claquer mais les parents auraient mérité une inspection prostatique au cactus, même pour les femmes. Finalement, si j’ai eu envie un jour d’un gosse, maintenant plutôt une vasectomie à la brique que cette malédiction sonore et malodorante. Je maudits ces parents à la con sur deux générations. Et ces trous du cul n’étaient même pas désolé du boucan de leurs monstres. Onze heures à occulter l’envie de faire un OYAKO-MASSACRE.
Et c’est sans compter le petit téléviseur censé projeter des films qui plante (vive windows LOL).