Jan 022018
 

Titre original : Enter the Ninja
Titre français : L’Implacable Ninja
Autre titre: Ninja 1
Réalisation : Menahem Golan
Scénario : Dick Desmond et Mike Stone
Photographie : David Gurfinkel
Musique: W. Michael Lewis, Laurin Rinder
Production : Judd Bernard, Yoram Globus et Menahem Golan
Effets spéciaux: Ben Otico
Pays d’origine : États-Unis
Format : Couleurs – 1,37:1 – Mono
Genre : action
Date de sortie : 1981

L’Implacable Ninja (Enter the Ninja) est un film américain réalisé par Menahem Golan, sorti en 1981.

Sujet

Après avoir terminé sa formation de ninja au Japon, Cole (Franco Nero), un soldat vétéran de l’Angola rend visite à son ancien frère d’armes Frank Landers (Alex Courtney) et fait connaissance avec l’épouse de celui-ci, Mary Ann Landers (Susan George). Les Landers possèdent une ferme aux Philippines, et sont fréquemment harcelés par un homme d’affaires du nom de Charles Venarius (Christopher George), qui souhaite acquérir leur propriété. À leur insu, les terres des Landers cachent d’importantes nappes de pétrole. Cole, grâce à ses talents de ninja, n’a guère de difficulté à repousser les attaques répétées des sbires de Venarius. Mais ce dernier finit par faire appel à Hasegawa (Sho Kosugi), un autre ninja, rival de Cole. L’intrigue se corse lorsque Cole a une aventure avec Mary Ann, la femme de son ami Frank.

Acteurs

Franco Nero: Cole
Susan George: Mary Ann
Shô Kosugi: Hasegawa
Christopher George: Venarius
Alex Courtney: Frank
Will Hare: Dollars
Zachi Noy: The Hook
Constantine Gregory: Mr. Parker
Dale Ishimoto: Komori
Joonee Gamboa: Mr. Mesuda
Leo Martinez: Pee Wee
Ken Metcalfe: Elliot
Subas Herrero: Alberto
Alan Amiel: Ninja Marron
Douglas Ivan: Ninja Marron
Bob Jones: Ninja Marron
Jack Turner: Ninja Marron
Derek Webster: Homme de Venarius
Konrad Waalkes: Homme de Venarius
Jim Gaines: Homme de Venarius
Don Gordon Bell: Homme de Venarius
Isolde Winter: Secrétaire de Venarius
Lucy Bush: Secrétaire de Venarius
Alex Berube: Tsukau Boy #3
Robert Wall: Loubard
Mike Stone: Cascadeur (Cole)

Anecdotes

Les Kuji-Kiri étaient les neuf niveaux de pouvoir des Ninjas. Ils étaient 1. Rin – Force de l’esprit et du corps. 2. Kyo – Direction de l’énergie. 3. Tô – Harmonie avec l’univers. 4. Sha – Guérison de soi et des autres. 5. Kai – Prémonition du danger. 6. Jin – Connaître les pensées des autres. 7. Retsu – Maîtrise du temps et de l’espace. 8. Zai – Contrôle des éléments de la nature. et 9. Zen – Illumination.

La voix de Franco Nero est complètement doublée parce que le personnage principal de Cole est originaire du Texas et que Nero n’avait pas la voix pour correspondre à un accent américain ou texan.

Largement considéré comme le film qui a popularisé le Ninjutsu dans les années 1980, le film était en fait le deuxième grand film Ninja en anglais des années 1980, précédé par La fureur du juste de Chuck Norris (1980).

Franco Nero n’avait aucune formation en arts martiaux, il a donc été doublé par l’écrivain et le chorégraphe de combat Mike Stone pour les séquences de combat.

À l’origine, il s’agissait de l’écrivain et cascadeur Mike Stone, un expert en arts martiaux qui a été choisi pour jouer Cole et a ensuite été remplacé par Franco Nero.

Le cascadeur et chorégraphe de combat et d’arts martiaux Mike Stone est considéré comme la personne qui a conceptualisé et créé ce film.

Emmett Alston était le directeur original du film. Quand Charles Bronson a refusé d’autoriser Menahem Golan à diriger Un justicier dans la ville 2 (1982), Golan a assumé la direction de ce film. Alston a ensuite dirigé Force of the Ninja (1988) et American Ninja (1985).

C’est le seul film de la série à être tourné en dehors des Etats-Unis.

Dans ce film, Franco Nero joue un Ninja Américain (American Ninja). Cannon Films produira plus tard une série de cinq films « American Ninja ».

Les ninjas sont vus dans ce film avec une garde-robe pleine d’attachements et d’armes. Ceux-ci comprenaient souvent une sarbacane, bola (manriki), arc et flèche, nunchaku, sai, shinobi-gatana, shiroken, harpon et tonfa.

Premier rôle majeur dans un film en anglais pour Shô Kosugi, un pratiquant de ninpo qui était également le conseiller technique et le coordinateur de combat du film. Kosugi a joué dans de nombreux autres films de ninja des années 1980 et est apparu dans chacune des suites de ce film, mais en jouant des personnages différents.

Shô Kosugi n’a pas seulement joué The Black Ninja dans le film, mais au début, il joue également l’un des ninjas rouges. Il est assez évident dans la scène de tir sur deux ninjas rouges debout à côté de l’étang; Sho est le ninja rouge sur la droite, ce qui est évident par ses yeux distincts et l’eyeliner noir qui l’accompagne.

La publicité pour le film expliquait que le Ninjutsu était « l’art de l’invisibilité ». L’art martial est également connu comme Ninpo et Ninjitsu-Ryu.

Le premier dossier de presse du film déclarait: « … le premier film occidental traitant uniquement de l’art mystérieux et insaisissable du Ninjutsu, qui marquera la tendance des films d’arts martiaux pour les années 80, faisant d’eux la décennie des Ninjas. « . Il a ajouté: « À la fin de l’automne 1980, le concept de ‘Enter the Ninja’ a été présenté au producteur/réalisateur Menahem Golan. N’ayant jamais produit de film d’arts martiaux il a été difficile à convaincre au début. Il pensait que que tout avait été déjà fait auparavant dans les films d’arts martiaux, mais après qu’il ait été informé de l’art unique du Ninjutsu, il a immédiatement commencé les préparatifs sur ‘Enter the Ninja' ».

sources:

Mon Avis

Dans un premier temps il faut se remettre dans le contexte, celui des années 80.

Vu actuellement, il est clair que le film n’est pas à la hauteur de ce qui se fait actuellement, compte tenu des millions de dollars de budget des films américains.

Il faut le voir comme un bon nanar, et en version française pour que cela soit plus appréciable et plus drôle.

Et donc le film est très kitsch.

Il y a beaucoup d’invraisemblances en version française: on paye en pesos aux Philippines, les locaux parlent espagnoles.

Sho Kosugi est vraiment génial.

Les combat chorégraphiés sont lents et nuls… vu d’une vision de 2017. Mais pour l’époque, c’était magique. C’est ce qui en fait un bon nanar, car il est étonnant de voir des gens décéder d’une coupure à l’épaule.

Tous les méchants sont en costard blanc.

Ce film, comme ceux de Richard Harrison font la promotion du héro ninja à moustache… on peut y conclure qu’une bonne moustache, fait un bon ninja 🙂

trailer: http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19536108&cfilm=187408.html

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