Comme chaque matin je suis allé à mon cours de Flûte. Décidément, le menuet de Boccherini ne passe pas. L’arrangement pour flûte me parle difficilement. Il y a de nombreux passage que j’ai en tête et du coup, je ne suis plus le rythme. Suivre le rythme c’est mon problème principale que j’essaye d’améliorer depuis des années.
Puis je suis allé au restaurant Lou Païs d’Aqui.
Ils avaient une super carte du jour: des huîtres en entrée, un super poisson accompagné de risotto de riz noir. Malheureusement, je souhaitais goûter des vins rouges. Ce qui n’allait pas avec le menu du jour. J’ai donc pris une entrecôte pour aller avec le Clos d’Elle « à huit clos » : un Grès de Montpellier assemblage de Syrah et de Grenache => https://www.leclosdelle.com/produit/a-huis-clos-rouge/.
Et pour finir par une tarte au flan comme on l’appelle dans l’Est, qui s’appelle ici « Flan Parisien », puisque les parisiens appellent cela « Flan » (mais du coup le « vrai » flan dans un ramequin, il est appelé comment?).
Pour finir Bernard m’a offert un shot de Kakukera Black Edition… ah des Rhums comme j’aime.
Ensuite je suis rentré chez moi pour faire une vidéo conférence qui a duré une heure et demie.
J’ai fait une sieste d’une heure histoire d’éponger ce que j’avais bu à midi.
Ensuite je suis allé à Séphora acheter de l’eau sauvage, le seul parfum que je supporte actuellement. J’avais une carte Weedogift issu de mon entreprise, mais visiblement pas accepté chez Séphora (ils acceptent le format papier mais pas la carte). Encore un truc à la con à régler…
Ensuite je suis passé à Saint-Christol acheter du « Partage » et de la K du petit Caboulot.
Ensuite retour à la maison, où j’ai écouté les morceaux que m’avait conseillé ma prof de musique: Les Sauvages de Rameau : https://www.youtube.com/watch?v=2X8W83KJVIk
Jean-Philippe Rameau est un compositeur français et théoricien de la musique, né le 25 septembre 1683 à Dijon et mort le 12 septembre 1764 à Paris.
L’œuvre lyrique de Rameau forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l’apogée du classicisme français, dont les canons s’opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du XVIIIe siècle. Dans ce domaine, la création la plus célèbre du compositeur est l’opéra-ballet Les Indes galantes (1735). Cette partie de sa production est restée oubliée pendant près de deux siècles, mais a été aujourd’hui largement redécouverte. Ses œuvres pour clavecin, en revanche, ont toujours été présentes au répertoire : Le Tambourin, L’Entretien des Muses, Le Rappel des Oiseaux, La Poule, entre autres pièces connues, furent jouées au XIXe siècle (au piano) à l’égal de celles de Bach, Couperin ou Scarlatti.
Rameau est considéré comme l’un des plus grands musiciens français et comme le premier théoricien de l’harmonie classique : ses traités d’harmonie, malgré certaines imperfections, font toujours figure de référence.
source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Philippe_Rameau
Cette partie est vraiment superbe.
Et je suis tombé sur une représentation belle, drôle et un peu « électrique » de ce passage : https://www.youtube.com/watch?v=kvmlF3QZkTM
Qui est également très belle à écouter. Dmitry Ivanchey est un chanteur d’Opéra Ténor et violoniste.
Et de fil en aiguille je suis tombé sur la dernière vidéo de Batzorig Vaanchig dont je vous avais parlé sur un Coup De Coeur précédent: Coup De Coeur : Batzorig Vaanchig
Et j’ai appris qu’il était en tournée en Europe… et notamment en France. Il a fait une vidéo de Renne : https://www.youtube.com/watch?v=GnRH-N-jO1I
Il fait une démonstration du chant guttural spécifique Mongol et c’est superbe.
Pour finir, j’ai regardé Yaksha: Ruthless Operations sur Netflix.
Yaksha (Sanskrit यक्ष, yakṣa , yakkha en Pāli) est le nom d’une grande classe d’esprits de la nature, habituellement bienveillants, qui sont les gardiens des trésors naturels cachés sous la terre et les racines des arbres. Ils apparaissent dans la mythologie hindoue, jaïne et bouddhiste comme des déités, des Êtres célestes. La forme féminine du mot est yakṣī ou yakṣiṇī (Pāli: yakkhī or yakkhinī).
source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Yaksha
C’est avant tout un film d’espionnage, sur l’espionnage et les opérations secrètes de la Corée du Nord, de la Corée du Sud, du Japon en Chine. Le film m’a rappelé Atomic Blonde, où on retrouvait ces rapports d’espionnage à Berlin entre les services secrets français, anglais, russes. Tous les espions se connaissaient et parfois se combattaient ou partageaient des informations. Ici on retrouve le même principe, sauf que c’est filmé à Shenyang qui est la ville chinoise de l’espionnage du Sud-Est asiatique. Je n’en parlerai pas, mais il est très sympa à regarder.