Ca y est c’est enfin le jour J. Quelque part je n’étais pas vraiment enthousiaste d’aller au Japon, surtout à cette période et à ce moment particulier. Ma situation professionnelle est dans une période d’instabilité importante et sans compter la chute de l’euro qui m’a amené à convertir au taux de 1 euros = 98 yen environ… Une belle claque que j’ai ressenti à la Mitsubishi Bank de Narita en faisant la conversion. Dire qu’en juin 2008 on était à 1 euro = 170 yen, et 4 mois plus tard on était retombé à 1 euro = 145 yen (le début de la grande descente). C’est une bonne nouvelle pour les japonais, pour leurs investissements en Europe et leurs voyages en Europe. Mais pour nous… ça commence à devenir cher.
Donc comme à presque chaque fois, me voilà levé à 5 heures du matin, pour prendre un des premiers RER A qui me dépose à Opéra, puis de là, je prends la navette Roissy Bus (dont le tarif est depuis quelques temps 10 euros) pour aller à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Cette année n’ayant pas pu réserver mon billet avec Austrian Airline en octobre 2011 comme je l’aurais du (le billet était à 560 euros l’aller-retour), j’ai dû prendre un aller avec Swiss Air et un retour avec SAS pour une somme de 740 euros).
Et donc à 12heure, me voilà partit pour Zürich.
quelque part entre Paris et Zürich
Puis de Zürich on décolle pour Tokyo.
Une vue de la flotte de Swiss Air vue de l’avion qui m’emmène à Tokyo
Je n’ai pas eu à me plaindre de Swiss Airline, c’était très sympa, surtout qu’on a eu droit à quelques morceaux de… chocolat suisse bien sûr.
Et 11 heures plus tard, 19 heures plus tard avec le décalage horaire me voilà à Narita. Rien n’a changé, le bus Shin Chan est toujours là. Je prends une limousine (un mini-bus qui fait la liaison Narita avec des places importantes de Tokyo comme Shinjuku, Tama-plaza, etc.) pour Tama-plaza où je dois retrouver mes hôtes. Voilà… mon séjour ne fait que commencer.